Est-ce que vous avez déjà entendu parler de Mirage’s memories sur ce blog et mes différents réseaux c’est fort probable car j’ai lu tous les livres de cette saga, je les ai chroniqué, j’ai eu la chance d’interviewer son autrice et de la recevoir un live plus d’une fois sur Instagram. Mais alors pourquoi je vous parle de nouveau du premier tome, paru pour la première fois, il y a 30 ans.
Et bien parce que S-P Decroix réédite sa saga, cette version est revue et augmentée. Est-ce que je l’ai lu. C’est plus qu’évident. C’est lecture et relecture font de la saga Mirage’s memories l’un des saga que j’ai la plus lu.
En effet, je découvre Sandrine en SP numérique chez Heartless, j’achète le broché, je relis. Sandrine lance une béta de sa version 2.0, je me porte volontaire et quand la version papier arrivera à la maison, je me jetterai dessus. si vous voulez savoir pourquoi, continuez votre lecture.
Titre : La dernière cité Titre en VO : / Série : Mirage’s memories – Arc 1 Rébellion Auteur(s) : SP Decroix Genre : Dysto-fantastique N° de pages : 360 pages Publié le : 15 juin 2022 Edition : autoédition – BOD Format : ebook – broché Prix : 18.50 €
Je suis toujours en phase de découverte de l’univers de Sienna Pratt et je continue avec A songfor liberty dont la couverture et le titre m’ont tapé dans l’oeil. Je ne pouvais pas passé à coté. Je l’ai lu avec AuroreKarelle.
Titre : A song for liberty Titre en VO : / Série : / Auteur(s) : Sienna Pratt Genre : dystopie N° de pages : 201 pages Publié le : 31 mars 2021 Edition : autoédition Format : ebook – broché Prix : 3.99 – 13.99 €
Est-ce vraiment étonnant que je vous partage mon avis sur le tome 7 de cette saga, qui deviendra un classique tels les Harry Potter, j’en suis entièrement convaincue! Bon 7 tomes, quand j’écris cette chronique, je suis à chaud, je viens de finir et GOD que c’était intense.
Titre : Le sang de l’Honneur Titre en VO : / Série : Mirage’s memories Auteur(s) : Sandrine Decroix Genre : Fantastique (sous fonds dystopique) N° de pages : 625 pages Publié le : 03 octobre 2020 Edition : Heartless Format : ebook – broché Prix : 4.99 – 18 €
Est-ce vraiment étonnant que je vous partage mon avis sur le tome 6 de cette saga, qui deviendra un classique tels les Harry Potter, j’en suis entièrement convaincue?
Déjà 5 tomes lus et chroniqués. Est-ce que mon tome 3, tome favori a été détrônés? Découvrez le en continuant votre lecture.
Warning! Ce que vous allez lire est potentiellement spoilant !
Résumé
Phillys a unifié les peuples du Monde Connu. Mais, alors que se profile l’ultime combat entre Markk et la Mort, un nouvel ennemi sorti tout droit de son passé, ressurgit. Confronté à celui qui a tout bouleversé dans sa vie et celle de sa famille, Markk devra rejoindre les Terres qui l’ont vu naître afin de reprendre la place qui est la sienne.
Couverture
Mon humble avis
Avant toute chose, je tiens à remercier l’auteure qui croit en ses chroniqueuse, qui accepte que l’on aime ou pas quelque chose ou que l’on ait pas accroché. Est-ce mon cas? PAS DU TOUT! Cette saga, je l’adore et je la recommande vivement pour son écriture, son univers, les thèmes abordés. Mais, je ferai probablement son éloge quand j’aurai terminé la saga. Plus qu’un !!!
Je remercie l’auteure pour ces « Précédemment dans Mirage’s Memories » au vu de la densité et de la complexité (pas compliqué mais bien complexe) des tomes au niveau des événements, des lieux et des personnages. On en a besoin. L’auteure nous gâte tellement que maintenant je cherche ces pages, pour la plupart inexistantes, dans d’autres sagas.
Le tome commence par une thématique fortement présente dans le tome précédent, à savoir l’Espoir : l’espoir dans l’innocence d’une personne, l’espoir d’une autre vie, d’une vie meilleure. Et tout de suite après, cette forme d’apaisement, une altercation entre deux personnages mortellement charismatique.
Le premier quart de ce tome m’a traumatisé. Je m’explique! Les personnages, ça fait 6 tomes qu’on les côtoie, qu’on essaie de les comprendre, qu’on voit leur évolution de caractère, de relations ainsi que leur amour et leur combativité. Mais notre auteure sadique préférée fait vivre à certains personnages, que je ne citerai pas, des moments traumatisants. Me sentant comme un membre de la famille, j’ai versé plus d’une larme : de tristesse, de peur, de joie.
Je dirais de cette saga qu’elle est chorale. Au sens propre du terme avec les différents points de vue de nos héros mais aussi on voyage entre les lieux, de nouveaux lieux que Sandrine nous dévoile avec finesse et poésie et le foisonnement de personnages chacun avec un objectif bien précis.
Vous pensez vous perdre dans Mirage’s ? C’est que vous êtes sur la bonne voie.
Au niveau de l’écriture, elle évolue. On se souvient que le premier tome est paru en 1992, a remporté le Prix Hugo et écrit par l’auteure à l’âge canonique de 16 ans. Une écriture fluide, agréable. Des longueurs de chapitres qui tiennent en haleine. Des révélations et rebondissements, il y en a et la première phrase du tome nous met en garde
«C’est lorsque nous pensons tout connaître, lorsque nous croyons être à l’abri du pire que notre monde s’écroule sous nos pieds. »
Ensuite, cette saga, ce tome regorge d’amour. Le vrai avec un grand A. L’amour de jeunes gens, l’amour entre deux frères mais aussi l’amour pour l’Humanité. Une forme d’altruisme, la réunification des peuples par Phillys et a donc accompli la Prophétie. Un rassemblement où chacun se bat pour la Vie.
Je me rends compte que cette chronique peut sembler longue. Alors, je vas essayer d’aller maintenant d’aller à l’essentiel. Ce tome traite pour moi avant tout d’héritage. Un héritage que l’on porte que l’on connaisse son passé ou pas. Un héritage qui nous forge et nous fait avancer. Un héritage que l’on se doit de transmettre.
Je dirais enfin (oui oui enfin) que nos héros doivent d’adapter. Encore : nouveaux lieux, amis, alliés (des vrais ou faut-il se méfier ?), ennemis. S’adapter à leur statut, à leur nouvelle vie.
Finalement, ce beau bébé de 515 pages, hors annexes (à partir de la page 469), est le pénultième de cette saga de 7 tomes. Concernant ces dernières annexes, on y trouve une chronologie détaillée, l’histoires des différents peuples, des tableaux, des illustrations, des croquis et plans ainsi qu’un lexique. Pour rappel, dés le premier tome, l’auteure nous met en contact en un vocabulaire propre à l’univers ainsi que des langues. Une preuve en plus de la richesse de cet univers, qui est de plus en plus fantastique, le monde dystopique servant de fonds à l’histoire.
Est-ce un coup de coeur ? OUI Est-ce que je vous recommande cette saga OUI. Est-ce que je vais lire la suite ? OUI Est-ce que mon pauvre coeur meurtri le supportera ? Je vais m’accrocher et lire le dernier tome de cette fabuleuse saga.
Aujourd’hui, un article avec une thématique nouvelle : vous aider à préparer votre été. Je vais vous présenter 10 livres pour occuper votre saison estivale.
Voici donc mes propositions de lecture pour lézarder à la plage au soleil, au bord de la piscine ou dans un chalet dans les Ardennes.
Commençons par une belle brique de plus de 800 pages. Ce livre, je vous le propose en lecture commune à partir du 05 juillet jusqu’au 28 août. Idéalis : A la lueur d’une étoile inconnu / Christopher Paolini (auteur de la saga Eragon) publié chez Bayard en décembre 2020. (SF – Space Opéra)
Kira Navárez rêvait d’un monde nouveau. Elle vient de réveiller un cauchemar d’une ampleur intersidérale…
Lors d’une mission de routine sur une planète inconnue, Kira découvre un organisme vivant d’origine extraterrestre. Fascinée, elle s’approche de l’étrange poussière noire. La substance s’étend sur tout son corps et commence à prendre le contrôle. Kira, en pleine transformation, va explorer les dernières limites de sa condition d’être humain. Mais quelle est l’origine de cette entité ? Quelles sont ses intentions ? La scientifique n’a pas le temps de répondre à ces questions : la guerre contre les aliens est déclarée, et Kira pourrait bien être le plus grand et le dernier espoir de l’humanité.
Ensuite, une de mes saga préférée en littérature de l’imaginaire. Vous l’aurez certainement compris, il s’agit de Mirage’s memories / Sandrine Decroix publié chez Heartless. Je vais lire le tome 6. Pour en savoir plus sur l’univers, vous pouvez lire l’interview que l’auteure m’a accordée ainsi que la Chronique du tome 1. (SF – Dystopie – Fantastique)
Attention !!!Peut être spoilant
Phillys a unifié les peuples du Monde Connu. Mais, alors que se profile l’ultime combat entre Markk et la Mort, un nouvel ennemi sorti tout droit de son passé, ressurgit. Confronté à celui qui a tout bouleversé dans sa vie et celle de sa famille, Markk devra rejoindre les Terres qui l’ont vu naître afin de reprendre la place qui est la sienne.
Sortons de la paralittérature, entrons dans le monde d’Anne-Laure Bondoux avec son récit L’aube sera grandiose publié chez Folio offert par Melo fil’ lors d’un Swap. Un roman sui a beaucoup fait parler de lui, qui traite d’un voyage et de révélations familiales. (Relation familiale)
Titania emmène sa fille, Nine, seize ans, dans une mystérieuse cabane au bord d’un lac. Il est temps pour elle de lui dévoiler des événements de sa vie qu’elle lui a cachés jusqu’alors. Nine écoute, suspendue aux paroles de sa mère. Flash-back, anecdotes, personnages flamboyants, récits en eaux troubles, souvenirs souvent drôles et parfois tragiques, bouleversants, fascinants secrets… Peu à peu jaillit un étonnant roman familial, qui va prendre, pour Nine, un nouveau tour au matin..
Partons chez PKJ, en commençant par la saga Phobos / Victor Dixen (un cadeau de Noël par une amie). Cet univers est très populaire sur les RS dont l’auteur a remporté est doublement lauréat du Grand Prix de l’imaginaire. Il me tarde de comprendre la hype derrière cette saga. (SF – Colonie – Romance).
Six prétendantes d’un côté. Six prétendants de l’autre. Six minutes pour se rencontrer. L’éternité pour s’aimer. Ils sont six filles et six garçons, dans les deux compartiments séparés d’un même vaisseau spatial. Ils ont six minutes chaque semaine pour se séduire et se choisir, sous l’œil des caméras embarquées. Ils sont les prétendants du programme Genesis, l’émission de speed-dating la plus folle de l’Histoire, destinée à créer la première colonie humaine sur Mars. Léonor, orpheline de dix-huit ans, est l’une des six élues. Elle a signé pour la gloire. Elle a signé pour l’amour. Elle a signé pour un aller sans retour. Même si le rêve vire au cauchemar, il est trop tard pour regretter.
On reste chez PKJ mais on change de saga : Chroniques lunaires : Cinder / Marissa Meyer. L’héroïne, une simple mécanicienne demi – humaine qui aurait les pouvoirs de changer le monde. Je suis tentée et vous ? (Héroïne – SF)
À New Beijing, Cinder est une cyborg. Autant dire une paria. Elle partage sa vie entre l’atelier où elle répare des robots et sa famille adoptive. À seize ans, la jeune fille a pour seul horizon les tâches plus ou moins dégradantes qu’elle doit accomplir pour ses sœurs et sa marâtre. Mais le jour où le prince Kai lui apporte son robot de compagnie – son seul ami -, le destin de Cinder prend un tour inattendu. La forte attirance qu’éprouvent le beau prince et la jeune cyborg n’a aucune chance de s’épanouir, surtout que le royaume est menacé par la terrible reine de la Lune ! Débute alors pour Cinder une aventure incroyable, où elle découvrira que le sort de l’humanité est peut-être entre ses mains.
Voici la première moitié de ma sélection, si certaines lectures vous tentent ou que vous les lisez, n’hésitez pas à me le dire en commentaire, en DM Instagram ou en Story, je serais ravie de discuter avec vous de ces lectures.
Revenons à nos moutons, j’aimerais vous proposer un livre dont l’auteure sera lue cet été avec Jessica et Melo’fil : La Femme au manteau violet / Clarisse Sabard publié chez Pocket. Un récit à double temporalités : la nôtre et celle des années 30 à New-York. (Secrets – Révélations – Avenir)
2018. La vie de Jo vole en éclats suite à ce qui ne semblait être qu’un banal accident sans gravité ; pourtant, un scanner révèle qu’un anévrisme risque de se rompre à tout moment. Le neurologue lui laisse le choix : elle peut être opérée, mais les risques sont importants. Persuadée qu’elle va mourir, Jo se réfugie chez Victor, son grand-père. Ce dernier va lui montrer un pendentif qu’il a reçu d’Angleterre quelques années plus tôt, avec pour seule explication ce mot griffonné sur une feuille : « De la part de Charlotte, qui n’a jamais oublié Gabriel. Ce souvenir vous revient de droit. » Victor lui révèle que Gabriel était son frère aîné, décédé lorsqu’il était enfant. Jo décide de se rendre à Ilfracombe, dans le Devonshire, afin d’aider son grand-père à résoudre ce mystère, et surtout, de réfléchir à la décision qu’elle doit prendre… 1929. Charlotte et son mari, Émile, quittent leur vignoble d’Épernay pour un voyage d’affaires à New York. Sur place, la jeune femme s’éprend de Ryan, un mystérieux homme d’affaires. Lorsqu’il se rend compte de cette trahison, Émile entre dans une rage folle, la frappe et la laisse pour morte. À son réveil, Charlotte se rend compte que son mari est parti ; pire, il lui a pris tous ses papiers. Elle est effondrée : son fils de quatre mois, Gabriel, est resté en France, et sans papiers, elle ne peut pas le rejoindre.
Un feel good ? Je ne sais pas. Une ode à la nature auvergnate certainement. Les lendemains / Mélissa Da Costa publié chez Le livre de poche. Un récit qui traite de la résilience, qui nous fait nous poser des questions tout en subtilité et en douceur. (Nature writing – littérature française)
Amande ne pensait pas que l’on pouvait avoir si mal. En se réfugiant dans une maison isolée en Auvergne pour vivre pleinement son chagrin, elle tombe par hasard sur les calendriers horticoles de l’ancienne propriétaire des lieux. Guidée par les annotations manuscrites de Madame Hugues, Amande s’attelle à redonner vie au vieux jardin abandonné. Au fil des saisons, elle va puiser dans ce contact avec la terre la force de renaître et de s’ouvrir à des rencontres uniques. Et chaque lendemain redevient une promesse d’avenir.
Dans un tout autre genre : un essai parce que je suis une fervente convaincue de la nécessité de sortir de sa zone de confort (un article plus complet prochainement) et ce sujet me parle particulièrement. Sorcière : la puissance invaincue des femmes / Mona Chollet publié chez Zones . (Féminisme – Sociologie)
Tremblez, les sorcières reviennent ! disait un slogan féministe des années 1970. Image repoussoir, représentation misogyne héritée des procès et des bûchers des grandes chasses de la Renaissance, la sorcière peut pourtant, affirme Mona Chollet, servir pour les femmes d’aujourd’hui de figure d’une puissance positive, affranchie de toutes les dominations. Davantage encore que leurs aînées des années 1970, les féministes actuelles semblent hantées par cette figure de la sorcière. Elle est à la fois la victime absolue, celle pour qui on réclame justice, et la rebelle obstinée, insaisissable. Mais qui étaient au juste celles qui, dans l’Europe de la Renaissance, ont été accusées de sorcellerie ?Ce livre explore trois archétypes de la chasse aux sorcières et examine ce qu’il en reste aujourd’hui, dans nos préjugés et nos représentations : la femme indépendante – les veuves et les célibataires furent particulièrement visées ; la femme sans enfant – l’époque des chasses a marqué la fin de la tolérance pour celles qui prétendaient contrôler leur fécondité ; et la femme âgée – devenue, et restée depuis, un objet d’horreur.Mais il y est aussi question de la vision du monde que la traque des sorcières a servi à promouvoir, du rapport guerrier qui s’est développé alors tant à l’égard des femmes que de la nature : une double malédiction qui reste à lever.
Et enfin, parce que je suis très admirative de ces auteurs. Je vais vous proposer 2 livres par des auteurs auto-édités.
D’abord un auteur qui fait partie de mes auteur favori : pas encore déçue pas aucun de ces écrits. Les Chroniques occultes, tome 1 : L’appel d’Am-Heh / Guy-Roger Duvert. (Aventure – Fantastique)
En 1934, Kristen, archéologue travaillant à la Miskatonic University, à Arkham, tente de faire reconnaître ses compétences dans un monde où les femmes restent méprisées. Tout change le jour où elle reçoit un paquet envoyé d’Égypte, contenant une moitié de tablette aux inscriptions semblant dater de l’époque archéenne. Accompagnée de Milton Blake, un aventurier obéissant à un conclave occulte au sein de la Miskatonic, et de Howard Brixton, ancien espion britannique, elle s’engage dans une odyssée qui l’amènera des États-Unis en Égypte, puis en France et jusqu’en Allemagne nazie. Mais cette course après un savoir occulte qui aurait dû rester enfoui ne risque-t-elle pas de les mener aux portes de la folie ?
Et le dernier mais pas des moindre, une auteure découverte grâce à Sandrine Decroix : Magie Obscure / Maud Wlek (Fantastique – Magie)
Jeune Française de dix-sept ans, Lana Wolski mène une vie plutôt solitaire dans la belle ville de Montauban, depuis la mort de sa mère six mois auparavant. Pourtant, son existence va se retrouver bouleversée à bien des égards lorsque son père se verra offrir une opportunité de travail qu’il ne pourra refuser, laissant à ses enfants John, Lana et Joy la possibilité de venir avec lui ou non. Lana choisira donc de suivre son père et son frère jusqu’à Williamstown, petite bourgade située dans le Massachusetts, aux États-Unis. […] Entre sentiments d’amour confus, une amitié sincère et soudée, des menaces surnaturelles, et un quotidien d’adolescents Américains ; découvrez un monde où magie et mystère se côtoient, plongeant le lecteur dans un récit haletant et envoûtant.
Jessica et Mélo ont aussi proposer une sélection à lire pour vois inspirer.
J’ai hâte de savoir si vous allez lire la même chose que moi. N’hésitez pas à nous partager votre liste de lectures estivale.
Aujourd’hui, je vais vous parler de dystopie avec LES ÉPHÉMÈRES – tome 1 – Discordance par Agathe Karella paru le 24 mars 2021, un service presse lu en format numérique de 538 pages. Mais qu’est-ce que c’est ?
Quatrième de couverture
LES ÉPHÉMÈRES
Je m’appelle Orion et je suis un Éphémère. Un Z comme ils nous appellent. On vit plus vite, on meurt plus vite, on dérange…
DYSTOPIE, AVENTURE ET ÉMOTIONS
T1 – Discordance
Depuis une quinzaine d’années, une partie de la population naît Éphémère. Touchés par un dérèglement génétique inexpliqué, ces individus grandissent et vieillissent sept fois plus vite. La société est déroutée, et ses dirigeants cherchent à endiguer ce phénomène croissant.
Orion, un Éphémère qui vit caché, voit son existence basculer lorsque ses parents disparaissent. Il n’a d’autre choix que de sortir au grand jour pour affronter le monde. En quelques mois à peine, le jeune homme atteint l’âge de dix-neuf ans. Résolu à retrouver la trace de ses parents, il est prêt à tout, quitte à dissimuler sa vraie nature…
Braver les interdits. Trouver sa place. Vivre. Pour Orion, le compte à rebours a déjà commencé…
Mon avis
Un super premier tome, rempli de potentiel. Vous voulez savoir pourquoi… continuez votre lecture.
Au niveau de l’histoire, nous suivons Orion, un jeune homme qui va fêter ses 12 ans qui est caché et redoute l’arrivée des Veilleurs. Il n’est jamais sorti de chez lui et n’a pour seule amie, sa voisine qui porte un bracelet et pas lui. Intriguant ? Ses parents, le soir de son anniversaire sortent faire une course et ne reviennent pas. On frappe à la porte et il a pour consigne de ne jamais ouvrir. On veut s’en prendre à lui … Que les ennuis commencent
Il y a eu une modification de la couverture, d’un sablier à un papillon. Les deux très jolies.
Concernant l’écriture, je l’ai trouvée agréable et fluide. La tension du début super bien maîtrisée et nous tient en haleine tout du long. Dés le premier chapitre, l’auteure sème une tension palpable, il y a quelque chose qui n’est pas normal et on le sens. Le récit est séparé en plusieurs parties qui déterminent les moments de vie d’Orion.
Orion devra faire face à des révélations du haut ses 12 ans. 12 ans vraiment ? Je vous laisse le découvrir. Orion est un Z, un éphémère, il est atteint, d’un dérèglement génétique qui le fait vieillir sept fois plus vite que la moyenne Des révélations, mais aussi découvrir de nouvelles personnes. Que des personnes ? Peut-être pas … Durant tout ce récit, on ne s’ennuie jamais.
J’ai beaucoup aimé ce premier tome que je vous recommande.
Pour en savoir plus ; n’hésite pas à aller sur le site de l’auteure.
On se retrouve aujourd’hui pour découvrir l’auteure Agatha Karella, qui a entre autre écrit le premier tome de la saga Les éphémères, Discordance, en autoédition. Retrouvez ce roman chroniqué de 350 pages que j’ai reçu en service presse via le site Simplement.pro.
Belle découverte de cette auteure !
Peux-tu nous parler de toi et de ton parcours ?
Je suis l’autrice de plusieurs romans : un suspense psychologique intitulé Zones d’ombre, et la trilogie Les Éphémères, une saga dystopique. J’ai également créé Mon Carnet d’Écrivain, un outil pratique pour aider les auteurs dans la préparation de leur roman (traduit en anglais et en espagnol). Et je propose, sur mon site internet agathekarella.com, une formation sur l’art d’écrire pour ceux qui souhaitent un regard bienveillant et formateur sur leur écrit et peaufiner leur style d’écriture.
J’ai suivi des études littéraires en français et en anglais puis me suis tournée vers l’enseignement. Depuis le début de ma carrière, il y a plus de 15 ans, j’ai enseigné dans tous les niveaux de la maternelle à l’élémentaire, et durant de nombreuses années au sein de quartiers défavorisés. Ce parcours m’a enrichie sur bien des plans. Côté perso, j’ai 38 ans et je vis à Nantes avec mon mari et nos trois enfants âgés de 8 ans, 6 ans et 16 mois.
Quels sont tes auteurs et livres préférés ?
Je me plais à lire tous les genres, tous les styles et toutes les époques. Je n’ai pas d’auteurs ou de livres préférés. Je peux tout de même citer Raison et Sentiments de Jane Austen que je relis régulièrement. Mes dernières lectures : La Tresse de Laetitia Colombani, La Passe-Miroir de Christelle Dabos, Petit Pays de Gaël Faye et La tristesse des éléphants de Jodi Picoult.
Je lis également beaucoup de livres de non-fiction. J’aime découvrir et explorer des sujets qui me sont inconnus ou approfondir ceux qui me passionnent. Je me définis d’ailleurs comme une « autrice exploratrice ». Je lis des essais (américains principalement) sur l’écriture mais aussi sur la gestion du temps, l’organisation, le bonheur… The One Thing de Gary Keller est particulièrement intéressant pour apprendre à prioriser ses activités et mener à bien ses projets. Ma dernière acquisition : Sunday, Monday, Happy days de Sarah Allart.
Qu’est-ce qui t’a donné envie d’écrire et où puises-tu ton inspiration ? Quelle est ta relation à l’écriture? Est-ce que tu vis de l’écriture?
J’écris depuis l’enfance. J’ai imaginé ma première histoire dans un petit carnet à fleurs à l’âge de 9 ans. J’ai récidivé vers 15 ans en remplissant un cahier de collégienne d’une histoire à suspense que j’ai fait lire à toutes mes copines. Je leur avais même demandé de compléter une fiche à la fin de leur lecture pour me faire leurs retours. J’ai mis de côté cette passion quelques années (études, enfants…) et m’y suis remise sérieusement il y a trois ans.
Je puise mon inspiration dans mon quotidien, dans le monde qui nous entoure et surtout dans mon imaginaire. Je ne manque jamais d’idées !
Cette année, je suis en congé parental pour la naissance de mon petit 3e. Je reprendrai le chemin de l’école à mi-temps à la rentrée prochaine et conjuguerai avec passion mon métier d’enseignante et l’écriture de mes prochains romans.
Écris-tu tous les jours ? As-tu des routines d’écriture ? Qu’est-ce qui t’a motivé à t’auto-éditer ? As-tu pensé à l’édition plus « classique » ?
J’écris tous les jours, weekends et jours fériés compris ! J’ai l’habitude de compter mes mots et la durée de mes sessions d’écriture. C’est très utile pour constater son avancée au jour le jour et garder intacte sa motivation. J’écris pendant les siestes du petit et l’école des grands. Et je m’octroie des séances d’écriture le soir lorsque tout le monde dort. Pour une gestion efficace du temps, j’utilise la technique Pomodoro.
Pour la phase de préparation de mes romans, j’utilise Mon Carnet d’Écrivain et je rédige ensuite mon premier jet directement sur ordinateur.
Quand j’ai commencé à écrire, je ne connaissais pas l’auto-édition. J’ai donc proposé mon premier manuscrit à quelques éditeurs traditionnels. J’étais aux anges quand j’ai reçu deux contrats d’édition ! J’ai pris le temps d’étudier les propositions et ai découvert certains aspects qui m’ont surprise. En me renseignant sur l’univers de l’édition et la chaîne du livre, j’ai découvert un autre monde. Celui de la liberté et de l’indépendance. J’ai rencontré des auteurs indépendants formidables et ai rapidement compris que c’était la voie que je voulais suivre. J’ai donc préféré refuser les propositions reçues. Je vis depuis une aventure prenante mais passionnante, plus rémunératrice et plus respectueuse du travail de l’auteur. Je suis fière de ce choix et ne le regrette aucunement.
Les Éphémères est une saga dystopique. Est-ce un style que tu aimes lire ? et ou écrire ?
J’aime lire et écrire dans différents genres et la dystopie en fait évidemment partie. Hunger games ou Divergente comptent parmi les sagas qui m’ont initiée à ce genre. Et 1984 de George Orwell est évidemment un must en la matière.
J’affectionne particulièrement ces histoires très proches du réel, réalistes même, mais qui font appel à l’imaginaire et donnent à réfléchir sur notre présent et notre avenir.
Comment est née cette histoire ? Peux-tu nous la pitcher ?
Cette histoire est née il y a quelques années, un été en vacances à peu près en même temps que celle de Zones d’ombre, mon premier roman. L’idée de faire varier un élément de notre monde réel me plaisait beaucoup et je suis fascinée par le temps. Mais j’avais encore besoin de mûrir ce projet.
J’ai donc préféré écrire la seconde idée qui me trottait dans la tête. Zones d’ombre nous embarque dans la peau de Marcus, prêt à tout pour éclaircir le trouble passé de sa femme Norah devenue subitement amnésique. Ce roman à suspense est sorti en mai 2019 et il continue à conquérir de nombreux lecteurs enthousiastes en France comme à l’étranger, notamment au Canada.
J’ai laissé germer l’idée des Éphémères en arrière-plan pendant quelques temps. Mais j’avais le titre dès le départ ! Je me suis lancée dans l’écriture du tome 1 pendant ma grossesse et je ne m’arrête plus depuis 😉
La trilogie raconte l’histoire d’Orion, un jeune Éphémère. Il s’agit du nom donné à une partie de la population qui grandit et vieillit sept fois plus vite que les individus normaux à cause d’un dérèglement génétique inexpliqué. Orion va devoir braver les interdits, trouver sa place, vivre tout simplement, dans une quête semée d’embûches, d’aventures et d’émotions.
Peux-tu nous parler de tes projets à venir?
Le tome 2 des Éphémères sortira en juillet prochain et le tome 3 à l’automne.
Je fourmille d’idées qui ne demandent qu’à être couchées sur le papier mais le temps me manque. Je ne suis pourtant pas une Éphémère… quoi que 😉
Mes futurs projets sont nombreux et variés. Une seconde formation basée sur l’élaboration de scénarios riches et cohérents est en préparation ainsi que divers guides pratiques à destination des écrivains. Et des romans, toujours plus de romans !
Je suis présente sur les réseaux sociaux et tiens informée ma communauté au travers de ma newsletter. Pour ne rien rater de mon actualité, de mes sorties et de mes projets, n’hésitez pas à m’y rejoindre…
As-tu un petit mot pour conclure cette interview à nos lecteurs ?
Sans ses lecteurs, un écrivain n’est rien. Sans vous, je ne suis rien. Je me nourris de vos retours, de vos encouragements, de vos petits mots. Merci pour votre enthousiasme, votre confiance et votre amour. Merci à toi Ynoowe. Et à très vite pour d’autres aventures livresques !
Aujourd’hui, je vous parle de mon dernier coup de cœur d’un roman de science-fiction dystopique ; Eschaton par Guy-Roger Duvert paru le 24 janvier dernier, en auto-édition. Ce n’est pas mon premier roman de cet auteur. Pour en savoir plus, je vous renvoi vers l’Interview de Guy-Roger Duvert, auteur de Backup
Quatrième de couverture
Dans un futur proche, la population est passée du statut d’insouciance à celui d’inquiétude, pour enfin vivre dans la résignation : la planète est trop endommagée, le désastre climatique est en cours, la fin de notre civilisation approche. Et pourtant, hormis un fatalisme ambiant, cela affecte peu le quotidien de chacun. Autant profiter de ce qu’on l’a tant que cela dure.
Casey est un compositeur de musiques de films célèbre, confortablement installé dans sa villa sur les hauteurs de Hollywood. Ayant perdu ses parents, des climatologues faisant partie des derniers à s’être battus pour empêcher la catastrophe, il est comme les autres, profitant des bienfaits d’une existence certes agréable, mais qu’il sait condamnée. À sa propre surprise, il se retrouve contacté par un homme qui prétend connaître la date exacte de la fin du monde, et qui parle d’un programme lancé pour permettre à notre civilisation d’y survivre. Un monde virtuel dans lequel seront copiés les personnalités de tous les plus grands scientifiques et artistes vivants, et duquel ils pourront sortir des siècles plus tard, lorsque la planète sera à nouveau habitable. Pour résumer : lui mourra bien le jour de l’Eschaton, du jugement dernier, mais sa copie digitale lui survivra. N’ayant rien à perdre, il accepte.
Tout bascule lorsque peu après, il tombe amoureux d’Eve, une brillante journaliste. L’idée qu’une partie de lui puisse survivre sans elle devient insupportable. Le couple va alors s’élancer dans une enquête à travers les Etats-Unis, sur fond de fin du monde climatique, afin de localiser le site du programme et en convaincre les responsables d’intégrer Eve.
Mon avis
Avant tout, je tiens à remercier l’auteur pour sa confiance et sa gentillesse. En effet, la parution de ce roman, il m’a proposé de le recevoir. J’en étais ravie. J’ai déjà beaucoup lu de cet auteur et je sais que le style et les sujets abordés me plaisent.
Concernant l’histoire, la quatrième de couverture en dit déjà beaucoup. On suit Casey, un célèbre compositeur de musique qui lors d’une interview rencontre un peintre qui crée en écoutant le musicien. Eve, la journaliste qui les artistes en relation, se découvre une relation, je dirais, amoureuse avec le mélomane. On lui propose d’intégrer un monde virtuel car c’est la fin du monde. Il accepte mais entre temps sa relation avec Eve évolue et ils voudraient tant qu’elle intègre ce nouveau monde.
Mais qu’adviendra-t-il de leur requête ? Je vous laisse le découvrir en plongeant de ce fabuleux roman d’anticipation.
Les sujets et les questions posées sont nombreuses. On y parle musique et quand on sait que l’auteur est compositeur, cela emmène une touche presque scientifique aux notions abordées. On l’y mêle l’art par la peinture et la relation entre elles.
L’humanité est le principal sujet de ce récit. On voit comment les différentes civilisations et peuples ont décidé d’agir par rapport à une fin du monde qui arrive par leur faute. On voit qu’il y a deux manières d’aborder les problèmes, par exemple ceux liés l’écologie. Une des solution trouvée face à cette fin imminente et irréversible est de muter ailleurs. Oui mais qui? L’aspect moral de la question est relevé. Qui? Quels sont les critères pour avoir accès à cette nouvelle vie ? Est-ce juste ?
Pour le style d’écriture, j’ai retrouvé dans ce roman ce qui m’avait plu dans les précédents écrits de l’auteur. Des chapitres courts et immersifs. Un chapitre = une image.
Si vous connaissez cet auteur, je vous invite à lire ce nouveau récit, vous ne serez pas déçu. Si vous ne connaissez pas, je vous conseille à découvrir ces écrits d’anticipation écrit avec finesse, de véritables page-turner addictif. C’es toujours un plaisir à lire et relire.
Aujourd’hui, je vais vous parler d’une suite, du tome 4 de la saga Mirage’s memories (MM) dont vous pouvez retrouver mes trois premières chroniques (Tome 1 – Tome 2 – Tome 3) et l’interview que l’autrice m’avait accordée. Je renouvelle mes remerciements à la maison d’édition Heartless, pour sa confiance. C’est une belle brique de 556 pages qui nous attend, paru le 05 janvier 2020.
PS : J’essaie au maximum de ne rien spoiler tout en attisant votre curiosité, mais il peut arriver que je cite certains éléments s’étant produit dans les tomes précédents.
Je me suis pas mal amusée avec ce livre. J’ai lancé un pilote de concept avec.
Quatrième de couverture
Personne n’est parvenu à empêcher l’accomplissement de la Prophétie. Le Second Bouleversement a bien eu lieu, entraînant destruction, désolation et morts par centaine. Les Survivants ont quitté Mirage et errent en groupes dispersés depuis 15 ans à travers le Monde Connu. Traqués sans relâche par la Mort et ses troupes, les Rebelles ne doivent leur survie qu’à cette stratégie dérisoire de nomades. Jusqu’au jour où plusieurs évènements distincts poussent chaque groupe vers un objectif commun : atteindre la Cité de l’Ouest, située dans les Infranchissables. Embûches, découvertes et révélations rythmeront alors le chemin de chacun. Les rouages de la destinée se mettent en place car bientôt, la Prophétie atteindra son apogée…
Mon avis
! Attention, Tome 4, risque de spoiler !
Que dire de ce quatrième tome, qui n’a pas déjà été dit ? Tout d’abord, je remercie l’autrice pour sa confiance envers ce que je propose, en chronique et contenu sur mes différents réseaux. Ce tome est ma première grosse brique de la saga, ce qui n’est pas pour me déplaire.
On est plongé 15 ans après le Second Bouleversement, qui a eu lieu, inévitablement ! On retrouve nos personnages préférés, certains ne sont plus là, certains sont différents. certains ont grandit, d’autres ont vieilli. Les conséquences de ce bouleversement ont impacté la vie de chacun de manière profonde et durable.
Ce tome monte en intensité, une puissance qui ne nous quitte pas et qui sera présente à mon avis jusqu’à la fin de la saga. Mirage a connu la guerre. La Mort est présente ce qui oblige nos personnages a être en mode « Survie », ce qui implique que nos héros sont continuellement sur le qui vive. J’ai l’impression que la saga est de la plus en plus sombre. Les personnages ont une épée de Damoclès au dessus de la tête. Le danger est omniprésent !!!
A travers les relations des personnages, on comprend certains choix, certaines décisions, certains liens, uniques et forts. Tout ça, grâce à l’écriture de l’auteure : une écriture dynamique, fluide et captivante.
Il y a continuellement une balance, un équilibre entre le Bien et le Mal, l’Ombre (Rappel de la Prophétie de l’Ombre) et la lumière, les scènes drôles et dramatiques, les personnages loyaux contres les cruels et inhumains.
Je retiens de ce tome des rebondissements, des révélations, des choix, de la composition et de l’espoir. J’entends par là que les personnages doivent faire face peut importe ce qu’il se passe, ils doivent avancer pour leur survive, pour leur futur et leur bonheur .
Je continue et je continuerai de recommander cette saga, qui est fantastique. Cet univers est si riche que vous trouverez forcément quelque chose qui va vous parler. J’en mets ma tête aux lombrics !
Bonjour à tous et touts, chers lecteurs et lectrices,
Aujourd’hui, je vais vous parler de ma première lecture au format numérique de l’année 2021, un service presse reçu grâce au site simplement.pro : KITTY KITTY – Le futur qui ne fut jamais par Aliénor Rossi & Quentin Raffoux. Cet ouvrage est une exclusivité Amazon paru le 11 novembre 2020. L’autrice prépare une version en langue anglaise.
Quatrième de couverture
KITTY KITTY – le futur qui ne fut jamais est un roman épisodique de space western. Empruntant à d’autres sous-genres de la science-fiction comme le space opera et le cyberpunk, KITTY KITTY possède un univers unique profondément retro. Car dans cette uchronie, les soviétiques ont planté le drapeau rouge sur la Lune dès 1949. Depuis, l’humanité repousse ses colonies aux confins du système solaire. Elle y consacre toutes ses ressources scientifiques et industrielles, si bien que ses codes culturels sont figés dans les années 1980
Mon avis
Avant tout chose, j’aimerais remercier l’autrice de sa proposition et de sa confiance. Dans les prochaines lignes, nous allons discuter d’un ouvrage profondément original. Quand on me dit que cette histoire sera narrée par un chat, chasseur de prime accompagnée de son humaine « sa sapiens » dans une science-fiction dystopique cosmique, comment résister !
Au début, j’ai eu peur que les mélanges dans styles et univers face brouillon mais pas du tout. on sent que les auteurs ont réfléchi leur univers. Il est bien construit et donne envie d’en apprendre plus sur ce dernier.
C’est la première histoire que je lis dont le narrateur est un chat. Et ce chat (Lee) est génial. Il est intelligent, fort et ses punch qui mélange ironie et sarcasme me littéralement tué de rire. Le duo qu’il forme avec Ali est intéressant, étonnant et intriguant. D’un coté un chat presque beau parleur, de l’autre une sapiens qui sait viser comme personne.
De plus, j’ai eu un énorme plaisir de me plonger cette science-fiction, unique à plus d’une titre. Elle est plongée dans une univers rétro (année 80). Dés la couverture, on nous entraine dans un monde coloré et fun.
Concernant l’histoire à proprement parlé, j’aimerais ne pas trop en dire car je ne voudrais pas gâcher cette expérience unique. Mais sachez que l’on ne s’ennuie jamais, on va de rebondissements en rebondissements. L’action nous tient en haleine tout du long.
Cet univers unique plaira j’en suis sûr au fan de science fiction, de dystopie et nostalgique des années 80.